Historia (depuis 2002)

lundi 5 juin 2017.
 

J’ai publié trois articles dans la revue Historia :

-  1- "Combien de divisions... internes", dans Historia-thématique n° 76, mars-avril 2002, La face cachée de la guerre d’Algérie. L’OAS, les secrets d’une organisation clandestine, pp. 25-29.

"Venus d’horizons politiques divers, les activistes de l’OAS ne sont d’accord que sur une chose : leur refus de la politique algérienne de De Gaulle. Pour le reste, cette "armée" est à l’image de ses chefs : divisée sur les objectifs et les moyens, en butte aux inimitiés et aux ambitions personnelles..."

-  2 - " Fallait-il supprimer le terme « positif » de la loi du 23 février 2005 ? "

Historia n° 754, octobre 2009, dossier “Colonidation, pour en finir avec la repentance”.

"C’est une loi à caractère glorificateur, comme celles qui ont créé les fêtes nationales du 11 novembre et du 8 mai, et non une loi mémorielle."

-  3- La revue Historia-Magazine a publié dans son n° 766 d’octobre 2010 un dossier intitulé "Harkis, en finir avec les tabous" (pp. 19-48), composés d’articles rédigés par Jean-Jacques Jordi, Remi Kauffer, Pierre Montagnon, Armand Bénésis de Rotrou, et Guy Pervillé. Ce dernier article (pp. 43-45 et 48) est intitulé "Des lendemains qui déchantent". Il reprend intégralement le texte que j’avais rédigé, à l’exception des notes par lesquelles j’avais indiqué les références de telle ou telle affirmation.

"Les accords d’Evian, signés le 18 mars 1962 et appliqués à partir du cessez-le-feu du 19 mars à midi, ont voulu rassurer les Français d’Algérie, dont la grande majorité soutient alors l’opposition violente de l’Organisation armée secrète (OAS), mais ils n’ont pas tenu compte du fait qu’un nombre non négligeable de « Français musulmans » a pris parti contre le FLN. Ceux-là sont considérés comme des Algériens comme les autres, à moins qu’ils veuillent devenir des « rapatriés » comme les autres. Mais qui sont-ils ?"



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